Le climat de notre planète se dérègle, les mers vont nous submerger si on ne diminue pas le CO 2   on va bouillir, il y a urgence climatique, les désastres vont s’accroitre si on ne fait rien, il faut sauver la planète, etc. etc.  L’idée qu’on peut diminuer la température de notre Terre en diminuant nos émissions de ce gaz naturel qu’est le CO 2  m’a vraiment intrigué.  J’étais sceptique.  J’ai donc cherché à en savoir plus en consultant des sources directes (rapports scientifiques du GIEC, divers livres et documents publiés par des scientifiques, etc.) ce qui m’a permis de récolter beaucoup d’informations dignes de confiance sur le sujet. Or ces informations permettent de se faire une idée sur l’urgence climatique qui nous menace, et sont aussi très interpellantes, mais étrangement elles ne sont quasi jamais publiées dans nos medias.  L’objectif de ce site est de les publier.  Je ne renseigne ici que des données scientifiques factuelles qui sont acceptées par tous les scientifiques, sceptiques ou non (sauf mention contraire)
Dans le domaine de l’évolution climatique, il n’y a pas de consensus entre les scientifiques.  D’une part il y a le GIEC (Groupe Intergouvernemental d’Experts sur l’Evolution du Climat), pour qui le réchauffement de la Terre est causé par le CO 2  émis par l’homme.  Pour en savoir plus sur le GIEC, cliquez ici.  D’autre part il y a de nombreux scientifiques pour lesquels le réchauffement climatique, qui est bien réel, est un phénomène tout à fait naturel.  Pour en savoir plus, cliquez ici Les premiers (les « alarmistes ») se basent sur des modèles climatiques très sophistiqués pour prévoir un réchauffement catastrophique si rien n’est fait pour diminuer nos émissions de CO 2 .  Les seconds (les « climatosceptiques ») ne croient pas à ces prévisions basées sur des modèles informatiques (pour les voir, cliquez ici). et démontrent que le CO 2  ne joue aucun rôle.  Il y a malheureusement très peu de débat entre partisans et adversaires de la théorie du réchauffement climatique d’origine anthropique. La raison essentielle en est que les premiers se réfugient toujours dans des modèles informatiques alors que les seconds se basent, en général, sur les lois de la physique et sur des données expérimentales bien établies.
Les archives géologiques révèlent que le climat terrestre varie depuis que la planète existe, avec des phases naturelles froides et chaudes.  De l’an 1100 à 1300, la température de la Terre a été bien plus chaude qu’actuellement.  C’est « l’Optimum médiéval ».  Vers 1400, la température commence à descendre.  On se dirige vers « le Petit Âge Glaciaire » (période récente la plus froide de 1645 à 1715 ou 1850) durant laquelle l’activité solaire a été très faible, voire nulle.  Ensuite, la température de la Terre monte progressivement, avec des hauts et des bas (par exemple réchauffement  de 1910 à 1940, refroidissement de 1940 à 1979, réchauffement ensuite). La température de notre planète est mesurée en continu par satellites, depuis 1979, grossièrement l’année du début du réchauffement que nous connaissons.  Ces données montrent que la température globale, durant les 40 dernières années, s’est élevée de 0.18°C par décennie.  Pour les détails, cliquez ici. Pour la situation en Belgique, cliquez ici.
Il n’y a pas de corrélation significative entre la température globale de la Terre et la teneur en CO 2   atmosphérique ni avec le CO 2  « fossile ».  La température diminue ou augmente durant certaines périodes, tandis que le CO 2 , lui, augmente régulièrement.  Par exemple, durant la période 1940 – 1979 la température de la Terre a diminué  alors que le CO 2  a augmenté.  Depuis 1998, la température ne s’élève que très peu (+0,18°C par décennie), alors qu’ à peu près 40% de tout le CO 2  anthropique émis depuis le début de l’ère industrielle a été envoyé dans l’atmosphère. Pour beaucoup de scientifiques, ceci s’expliquerait par le fait qu’il y a d’autres facteurs que le CO 2  (anthropique ou non) qui influencent le climat: les cycles du soleil, le réchauffement des océans, les éruptions volcaniques, la pollution industrielle et les aérosols (qui refroidissent l’air) , les cycles océaniques, la couverture nuageuse, etc.
En 2001, le GIEC a publié dans son rapport un graphique appelé « courbe de Mann » ou encore «courbe en crosse de hockey ».  Il montre la température de notre planète qui monte en flèche à partir des années 1900.  La courbe est impressionnante et a eu un retentissement international.   Elle était considérée comme un des graphiques les plus emblématiques du réchauffement climatique.  Cette courbe a été abondamment utilisée par le GIEC depuis sa création pour démontrer le réchauffement anthropique de la Terre.  Elle a cependant été fortement critiquée par de nombreux climatologues, et finalement il s’est avéré qu’elle n’était pas correcte.  Elle a été retirée mais a réapparu en couverture du dernier rapport AR6, au grand dam de la communauté scientifique !  des rapports du GIEC...
Mis à part son effet de serre très contesté, le CO 2  est bénéfique pour notre planète. Le CO 2  n’est pas toxique même à des concentrations 30 fois supérieures à celle de l’air.  Une chambre à coucher mal aérée en contient 11 fois plus que dans l’atmosphère.  Dans un sous-marin, cette concentration est limitée à un taux 25 fois plus élevé.  L’air que nous expirons a une concentration des dizaines de fois supérieure à celle de l’air inspiré. Le CO 2 n’est pas polluant puisque c’est un gaz naturel (origines: éruptions volcaniques, respiration des plantes, des animaux et des hommes, incendies naturels de forêts, décomposition de la matière organique morte de plantes et d'animaux, émanation des océans,…).  Il est en fait tout le contraire d’un gaz polluant: sa présence est irremplaçable dans notre propre organisme.  Le CO 2  est essentiel à toute la vie sur terre.  La végétation, pour vivre et se développer, a besoin de soleil, d’eau du sol et du CO 2  atmosphérique.  Grâce à la photosynthèse, le carbone est assimilé et l’oxygène renvoyé dans l’air.  Davantage de CO 2  fait verdir la Terre.  Les observations par satellites ont montré que en 33 ans, l’augmentation du CO 2  dans l’atmosphère a permis un accroissement de la végétation de notre planète d’une superficie équivalente à 33 fois celle de la France métropolitaine.
Le fait que le réchauffement climatique que nous connaissons soit causé par l’effet de serre du CO 2  est une assertion du GIEC.  Aucun de ses rapports ne contient une preuve scientifique que c’est bien le cas.  Cliquez ici.  Par ailleurs, quelques 16 scientifiques ont démontré depuis longtemps (années 1990) que c’est impossible dans les basses couches de l’atmosphère.  Pour des infos sur l’effet de serre, cliquez ici Parmi 100.000 molécules prises dans de l’air sec, on compte à peu près 78.080 molécules d’azote, 20.960 d’oxygène, d’autres gaz rares et seulement 40 molécules de gaz carbonique CO 2 Parmi celles-ci, il n’y a que 2 molécules (5 % D’après le GIEC et l’analyse des isotopes du dioxyde de carbone, on sait que 95% du CO2 dans l’atmosphère est d’origine naturelle.  La part anthropique est de 5%. ) qui sont d’origine anthropique (issues de l’activité humaine).  Ce serait ces 2 molécules qui réchauffent notre planète.  Pour en savoir plus, cliquez ici.
Les non-dits du climat
Le réchauffement de notre planète
  Le CO 2  est essentiel à toute la vie sous-marine.  Les océans absorbent le CO 2  (il y a en fait 60 fois plus de CO 2  dans les océans que dans l’atmosphère !).  Comme toutes les plantes, les micros algues (le phytoplancton) fabriquent leur substance à partir du CO 2 .  La hausse du taux de CO 2  favorise donc la croissance de celles ci. Or le phytoplancton joue un rôle primordial dans la vie sous-marine: il représente en fait la base principale de la chaîne alimentaire en mer ! Pas de phytoplancton: pas de coquillages, ni de poissons, ni de baleines… De plus, par la photosynthèse, les phytoplanctons produisent une grande quantité d’oxygène nécessaire à la vie dans l’eau, mais aussi, grâce aux échanges gazeux à la surface des océans, ils fournissent les 2/3 de l’oxygène de l’air de notre planète, le dernier 1/3 provenant des végétaux des Contrairement à une idée reçue, le premier producteur d’oxygène sur Terre n’est pas la forêt, mais le plancton végétal qui apporte à l’atmosphère plus d’oxygène que l’ensemble de toutes les forêts du monde réunies, forêt amazonienne comprise.  [Source: plancton-du-monde.org] continents. [Source: plancton-du-monde.org]
Si la température de l’eau des mers augmente, ce n’est pas à cause du réchauffement de l’air (essayez de chauffer l’eau de votre baignoire avec un sèche-cheveux ! ).  L’eau se réchauffe à cause des rayons solaires qui la pénètrent.  En 1 siècle, malgré le CO2 de l’ère industrielle et le réchauffement climatique, la température des océans a monté de 0,0004°C ou 0,005°C par an en moyenne (cela dépend de la profondeur et du lieu).
Les mesures par marégraphes et satellites montrent que ces 100 dernières années, le niveau des océans a augmenté de 1mm par an en moyenne (de 0,6 à 1,5 mm selon les lieux de mesures) (selon GIEC de 0,6 à 1,7mm par an).  Entre 1971 et 2010, le niveau a augmenté de 2 mm par an, comme ce fut très probablement aussi le cas entre 1920 et 1950. [Rapport AR5 du GIECActuellement il augmente de 1,5mm par an.
Les 2 régions polaires (Arctique et Antarctique) sont considérées par les scientifiques comme des régions clé pour observer le changement climatique en cours.  En effet, aux pôles, la concentration de l’air en vapeur d’eau est faible de sorte que l’effet de serre du CO 2 atmosphérique n’y rencontre aucun obstacle. Ce sont les pôles qui doivent donc normalement être le plus touchés par le réchauffement climatique. Mais en réalité, la température de l’air en surface ne bouge quasi pas en Antarctique : entre 1980 et 2021 elle est restée sensiblement constante.  Voir le graphique ici.  [Source National Oceanographic and Atmospheric Administration (NOAA)]    En Arctique, c’est le même constat: la température de l’air en surface ne bouge pas beaucoup : entre 2008 et 2021 elle a été sensiblement la même que dans la période 1930-1940. Voir le graphique ici [ Source : Mesures satellites HadCRUT4] Selon le GIEC [AR6], il est virtuellement certain que le réchauffement de l’air en surface en Arctique continuera à être plus prononcé que le réchauffement global moyen au cours du 21°siècle. D’après le professeur Ole Humlum [son Site Climate 4 You], les phénomènes méteorologiques dans ces régions ne sont pas encore bien compris.   Mais quelle est la situation en termes de glace dans ces 2 régions?   Cliquer ici.
Il y aurait près de 3,5 millions de volcans sous-marins Au fond des océans, l’eau ne bout pas à 100°C !  A cause de la pression très élevée, sa température peut monter à plus de 500°C… .  4% d’entre eux seraient actifs. 
Les phénomènes climatiques et météorologiques sont régis par des lois chaotiques: il y a toujours eu des catastrophes climatiques.  Il n’y a pas eu davantage de phénomènes météorologiques extrêmes durant la deuxième moitié du vingtième siècle comparé à la première moitié.  Une majorité des scientifiques considère que la fréquence des événements climatiques extrêmes n’a pas vraiment changé depuis 20 ans, voire a décru.  )  [Sondage international auprès de 651 climatologues, 2016 - academia.edu et dernier rapport AR6 du GIEC Cependant, les medias débordent de prédictions climatiques terrifiantes.  Pour eux, chaque catastrophe naturelle est inévitablement due au réchauffement climatique causé par l’Homme.  Il est clair que les medias déforment sans vergogne ce que dit la science concernant le climat et les catastrophes. Le réchauffement climatique est-il responsable des désastres naturels ?  Qu’en est-il vraiment?  Que dit la science? Pour le savoir, cliquez ici. 
Il y a quelques années, les medias alarmistes montraient des photos d’un ours polaire isolé sur un morceau d’iceberg en dérive.  Un désastre écologique !  Rassurez- vous, il n’en est rien.  En fait la population des ours polaires ne décline pas mais augmente depuis trente ans.  Une étude estime que les populations d’ours polaires pourraient être proches de leurs plus hauts historiques. [Michel Taylor, un des plus grands experts mondiaux des ours polaires]
Selon les chercheurs étudiant l’impact de l’activité du soleil sur notre planète, la quasi stagnation de la température globale observée depuis 21 ans pourrait être due à un retard du dernier cycle solaire (il y a des cycles de 11 ans, 72 ans, …).  Le Marshall Space Flight Center prédit que celui-ci sera le plus faible que l’on ait eu depuis 80 ans.  Il est donc possible que nous soyons en route vers une période de plus basse température, (comparable à celle du Petit Âge Glaciaire ?).  Mais il n’y a pas de consensus entre les climatologues et cet aspect n’est pas pris en compte par le GIEC.
Jacques PEPIN  Ingénieur civil Economiste
Ce site a pour seul objectif de présenter des données et informations intéressantes et interpellantes mais qui ne sont jamais publiées dans les medias.  A chaque lecteur de tirer ses propres conclusions.  Si vous désirez en savoir davantage, visitez le site Climate For You, développé par un professeur émérite de l’Université d’Oslo, ( Ole Hulmum)  à l’attention des non scientifiques intéressés par les questions climatiques. 
Le CO 2  est positif pour la biodiversité.  Le CO 2  supplémentaire dans l’air a favorisé un accroissement de la biomasse végétale mondiale. Il est par ailleurs bon pour l’agriculture, accroissant les rendements des récoltes dans le monde entier.    En un demi-siècle, les planctons ont grandement proliféré.  Selon le WWF, la biodiversité diminue, principalement à cause de la surexploitation des écosystèmes, l’agriculture, et la pollution. Le changement climatique global n’intervenant quasi pas.
Le CO 2  est en fait non seulement indispensable mais aussi bénéfique pour notre planète.  Il est bénéfique, mais il ne faut pas abuser des bonnes choses !  au point d’acidifier les océans, selon le GIEC ?  Et bien non! Pour en savoir plus sur l’acidification, cliquez ici.  Le long des côtes, les mollusques, gastéropodes pourraient en souffrir dans le futur, mais ce n’est pas le cas.  Cliquez ici.  Il n’y a pas d’impact sur les coraux. 
Version décembre 2023
      L’analyse détaillée d’une carotte de glace prélevée dans l’Antarctique (forage de Vostok, jusqu’à une profondeur de 3.623m, couvrant autour de 240.000 ans) a montré que les accroissements de CO 2  ont toujours été postérieurs aux élévations de température.  Les variations de température précèdent celles du CO2 et pas l’inverse.  [Cette observation a été reconnue par le GIEC dans son rapport de 2007.]  Le décalage est de l’ordre de 10 mois (mais il n’y a pas nécessairement de relation de cause à effet) Des recherches effectuées récemment [ Centre universitaire de Svalbard en Norvège, Ole Hulmum, 2013, et Salby, 2013 ]   ont montré que non seulement le CO 2  apparait après une augmentation de la température de l’air, mais que ce phénomène trouvait son origine dans le réchauffement des océans de l’hémisphère sud.  Une augmentation de la température des océans (causée par l’ensoleillement) est suivie en général d’une élévation de la température globale de l’air en surface (c’est l’eau qui réchauffe l’air et pas l’inverse), et ensuite d’une hausse de la concentration de CO 2  par dégazage des océans (le CO 2   est moins soluble dans l’eau chaude).  Voir ici le graphique. Salby conclut aussi que de 95% du CO 2  accumulé dans l’atmosphère n’est pas d’origine anthropique et provient essentiellement du dégazage des océans et de la végétation.  La part anthropique est proche de 5%, ce qui est confirmé par le GIEC (AR5).
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